Pince chutes
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Ingenium,
2013.0105.001
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- TYPE D’OBJET
- maple syrup
- DATE
- 2012
- NUMÉRO DE L’ARTEFACT
- 2013.0105.001
- FABRICANT
- Inconnu
- MODÈLE
- 466359
- EMPLACEMENT
- Inconnu
Plus d’information
Renseignements généraux
- Nº de série
- S/O
- Nº de partie
- 1
- Nombre total de parties
- 1
- Ou
- S/O
- Brevets
- S/O
- Description générale
- Metal
Dimensions
Remarque : Cette information reflète la taille générale pour l’entreposage et ne représente pas nécessairement les véritables dimensions de l’objet.
- Longueur
- 38,5 cm
- Largeur
- 19,5 cm
- Hauteur
- 9,0 cm
- Épaisseur
- S/O
- Poids
- S/O
- Diamètre
- S/O
- Volume
- S/O
Lexique
- Groupe
- Agriculture
- Catégorie
- Industrie domestique
- Sous-catégorie
- S/O
Fabricant
- Ou
- Inconnu
- Pays
- Inconnu
- État/province
- Inconnu
- Ville
- Inconnu
Contexte
- Pays
- Inconnu
- État/province
- Inconnu
- Période
- New, never used
- Canada
-
La production du sirop d’érable fut d’abord connue des Amérindiens habitant les territoires d’érablières au Canada : le Québec, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. Les premières références écrites à ce sujet remontent à 1540 et 1557. Les nouveaux arrivants Européens eurent tôt fait de les imiter. Le sirop et le sucre d’érable permettait aux habitants canadiens qui ne pouvaient se procurer du sucre de canne, autrefois un aliment pour les mieux nantis de la société, de sucrer leurs aliments. Par la suite et encore aujourd’hui, la production de sirop d’érable permet aux agriculteurs canadiens des provinces productrices d’obtenir un revenu supplémentaire en vendant une partie de leur production. Aujourd’hui (2012), le Canada produit environ 84% de la production mondiale de sirop d’érable. Le Québec est la plus grande productrice. « Une étude menée pour la Fédération des producteurs acéricoles du Québec (FPAQ) montre que le sirop d'érable du Québec génère plus de 12 000 emplois à temps plein au Canada, soit 1,3 % des emplois en région rurale. » Au niveau du Québec seulement, plus grand productrice de sirop d’érable, en 2004, l’industrie aéricole comptait quelques « 43 401 producteurs et productrices agricoles travaillant au sein d’environ 32 000 entreprises agricoles. Ces entreprises procurent de l’emploi à 57 900 personnes (en 2003) et vendent pour 6,32 milliards de dollars de produits. L’agriculture constitue ainsi la plus importante activité du secteur primaire au Québec, tant du point de vue économique que de celui de l’emploi » Également, l’équipement offert reflète la réalité d’aujourd’hui car selon des « estimations, 51 % des érablières du Québec compteraient 3 000 entailles ou moins, 12 %, 10 000 entailles ou plus, et seulement 1 %, plus de 30 000 entailles. » (Fédération des producteurs acéricoles du Québec) Outre son importance économique, cette activité a une importance culturelle au Canada. En plus de son patrimoine amérindien, elle a donné lieu au fil des années au développement d’un folklore qui lui est propre et qui subsiste encore aujourd’hui quoique à un moindre degré, à chaque printemps. Ce folklore est imprégné dans des traditions musicales (danse et chansons), culinaires, artisanales (moules à sucre par exemple), l’architecture de la cabane à sucre, les activités sociales (sorties, repas en groupe, festivals), ainsi que dans un vocabulaire bien spécifique. - Fonction
-
Spécialement conçue pour insérer des unions, des T bouchons ou des fourches dans des tuyaux 5/16. - Technique
-
Cet évaporateur représente la technologie utilisée en 2012 dans les cabanes à sucre canadiennes de petite production. La première technologie pour produire le sirop d’érable était utilisée par certaines nations amérindiennes au Canada. Il s’agissait fort probablement d’un pot de terre cuite dans lequel étaient jetées des pierres chaudes pour faire évaporer l’eau d’érable. Puis, les Canadiens d’origine européenne eurent tôt fait d’adopter ce nouvel aliment en utilisant leur propre technologie soit le chaudron de cuivre ou de fonte au-dessus du feu. Vers 1860, certaines personnes commencèrent à utiliser des contenants plats en fer-blanc ce qui augmentait la surface pour l’évaporation et du même coup, diminuait ainsi le temps d’ébullition nécessaire pour l’obtention du sirop. Toutefois, une bonne surveillance était nécessaire afin d’éviter que le sirop brûle. Les premiers vrais évaporateurs sont apparus ensuite vers 1880. Ces évaporateurs étaient alimentés au bois et le processus se faisait à l’intérieur d’un bâtiment plutôt que sous un abri temporaire. Diverses améliorations furent apportées au design des évaporateurs tant par des Canadiens que des Américains pour en améliorer l’efficacité telles des chicanes ou déflecteurs (baffles) pour diriger la sève qui bouille et des rayons (flues) pour augmenter la surface chauffante. La technologie est sensiblement demeurée la même par après pour environ 100 ans sauf pour la source de combustion qui s’est diversifiée avec l’huile et le gaz. La technologie pour la production du sirop d’érable a changé au cours des années 1970 en raison de préoccupations au niveau de la santé et de l’énergie. Par exemple, l’acier inoxydable est devenu le matériau utilisé en remplacement du fer blanc des évaporateurs précédents dont les joints étaient soudés au plomb puis à l’étain. Aujourd’hui, les joints sont soudés à l’argon Ce changement des matériaux de fabrication s’est amorçé vers 1980 chez Dominion & Grimm. La quête vers une réduction de l’énergie nécessaire à la production du sirop a emmené des changements au niveau de l’équipement connexe et de la source de combustion. Ainsi, certains évaporateurs ont une hotte préchauffante (pre-heater steam hood) qui augmente la température de la sève froide avant son arrivée dans l’évaporateur en réutilisant la vapeur de la panne à rayons (flue pan). Ceci économise du carburant et du temps. Au niveau de la combustion, certains évaporateurs utilisent de nos jours des granules de bois et tout récemment, l’électricité. - Notes sur la région
-
Inconnu
Détails
- Marques
- Embossed on pliers "Vise [logo] Grip", "IRWIN", "SWR". Other side of pliers: "VISE-GRIP/ The Original". Embossed on bolt ends "3MM HEX". Green print on black synthetic handle covers reads: "[missing print] ande Blanche/ Made in / Fabrique au Canada /by/ par/ IPEX INC." Other handle "@23C 100 -R- 111205[/] 12:59[/]Ligne #4 (M.D.).
- Manque
- S/O
- Fini
- Red laquered metal. Tool has incorporated two "Vise Grips" in the design. Two polished metal wing nuts. Blade covered in red tape. Metal handles have been covered with black synthetic which has green print and a white line. There is a hole at the end of each handle.
- Décoration
- S/O
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Fabricant inconnu, Pince chutes, 2012, Numéro de l'artefact 2013.0105, Ingenium - Musées des sciences et de l'innovation du Canada, http://collection.ingeniumcanada.org/fr/id/2013.0105.001/
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