Renseignements généraux

Nº de série

S/O

Nº de partie

2

Nombre total de parties

12

Ou

S/O

Brevets

S/O

Description générale

Bobine métallique.

Dimensions

Remarque : Cette information reflète la taille générale pour l’entreposage et ne représente pas nécessairement les véritables dimensions de l’objet.

Longueur

65,0 cm

Largeur

65,0 cm

Hauteur

4,0 cm

Épaisseur

S/O

Poids

S/O

Diamètre

S/O

Volume

S/O

Lexique

Groupe

Photographie

Catégorie

Images cinématographiques

Sous-catégorie

S/O

Fabricant

Ou

GOLDBERG

Pays

United States of America

État/province

Colorado

Ville

Denver

Contexte

Pays

Canada

État/province

Inconnu

Période

vers 1970-1980

Canada

Pendant des décennies après sa création en 1941, l'Office national du film a été le plus grand centre canadien de production de films, de formation de cinéastes et de développement de nouvelles technologies cinématographiques. Contrairement à la CBC, dont une grande partie de la production était diffusée en direct, enregistrée sur bande vidéo, achetée à d'autres sources ou limitée à des films d'actualité éphémères, l'ONF s'est consacré à la production de films originaux destinés à être diffusés principalement sur support cinématographique. Grâce à son indépendance vis-à-vis des pressions commerciales, à son personnel permanent nombreux et à la possession de ses propres studios et laboratoires, l'ONF a pu maintenir des normes techniques élevées et encourager l'innovation technique et stylistique de la part de son personnel. Du début des années 1950 au début des années 1960, l'Office national du film a connu un " âge d'or " avec une série de documentaires primés et de films d'animation novateurs. L'Expo 67 et le pavillon du Labyrinthe, vitrine de l'ONF, marquent l'apogée de la fortune politique et financière de l'institution. À la fin des années 1960, cependant, le public et les responsables politiques se sont montrés de plus en plus déçus par les incursions infructueuses de l'ONF dans le domaine des longs métrages, par un certain nombre de documentaires controversés et par le déclin de sa production de films éducatifs et de films d'information parrainés par l'État. Au cours des deux décennies suivantes, le gouvernement fédéral a encouragé le développement d'une industrie cinématographique commerciale en retirant à l'ONF ses lucratives activités de parrainage (réalisées pour des ministères) et en accordant des subventions et des incitations fiscales aux longs métrages produits par le secteur privé. Désormais, l'Office se limite de plus en plus à la recherche et à l'expérimentation, à la formation de jeunes cinéastes et à la fourniture de services techniques et de distribution aux producteurs indépendants. Le personnel de l'Office a produit un nombre constant de documentaires, de drames et de films d'animation primés au cours des années 1970 et 1980, mais son rôle dans le paysage cinématographique canadien n'a cessé de diminuer. Au cours des deux dernières décennies, l'Office s'est concentré sur les "documentaires à caractère social, les films d'animation d'auteur et les drames alternatifs" et a fait entrer son système de distribution dans l'ère numérique. De plus en plus, ses films sont réalisés dans le cadre de divers projets communautaires, de programmes destinés aux cinéastes émergents et de productions conjointes avec des producteurs et des réalisateurs indépendants.

Fonction

Cadre circulaire sur lequel le film cinématographique est enroulé pour l'enregistrement, le stockage et la lecture dans le projecteur.

Technique

Ce projecteur est capable de montrer des films 35mm et 70mm. Il semble être un modèle Century JJ, qui était commun des années 1960 aux années 1990 dans les cinémas équipés pour les films de 70 mm ainsi que les tirages standard de 35 mm. Les sorties dans ce grand format étaient généralement limitées à quelques blockbusters hollywoodiens sur grand écran par an et à des spectacles périodiques aux expositions mondiales et autres. Cet exemple, qui se trouve dans la salle principale du siège social de l’ONF, est équipé d’une tête de son magnétique (ou « penthouse ») pour reproduire les bandes sonores d’un film magnétiquement rayé. La source lumineuse est une lampe Strong X-60 équipée d’une lampe au xénon. Inventées en Allemagne dans les années 1930, les lampes au xénon correspondaient aux lampes à arc en carbone en intensité et en caractéristiques spectrales, mais ne nécessitaient pas d’entretien et étaient propres. La première installation de xénon en Amérique du Nord remonte à 1961. Le pavillon Labyrinthe de l’ONF à l’Expo 67 comprenait deux machines Century JJ-3 éclairées au xénon pour projeter des images de 70 mm. Il s’agissait de machines spécialement modifiées. toutefois, et il est peu probable que cet exemple en soit un. L’historique des développements techniques de l’ONF de Gerald Graham mentionne une paire de projecteurs de 70 mm dans le théâtre principal du conseil qui ont été utilisés au milieu des années 1970 pour évaluer les séquences d’un grand écran 3-D un film de démonstration. Cet exemple est probablement l’un de ceux-ci et, quoi qu’il en soit, représente l’intérêt institutionnel continu de l’ONF pour le média 70 mm, qui est issu du projet Labyrinth et qui se poursuivra par des coproductions avec IMAX Corporation. Outre notre unité IMAX, nous n’avons pas de projecteurs 70mm dans la collection.

Notes sur la région

Inconnu

Détails

Marques

Engraved on both sides: "MADE IN U.S.A./ [logo] GB/ DENVER COLO."

Manque

L'objet semble complet.

Fini

Bobine en métal de couleur argentée.

Décoration

S/O